:: Objectifs d'une prêtresse
Chaque prêtresse a ses objectifs ou sa mission.
Elle a ses principes et ses valeurs.
Je crois pour ma part que pour être prêtresse de Déesse, il faut, plus que se connaître soi-même, s'aimer soi-même, prendre soin de son corps, de son esprit et de son âme. Par là, je veux dire qu'il y a, d'une part, le fait de se nourrir sainement, de vivre une vie active, de trouver des activités, des passions à partager, ouvrir son esprit à de nouvelles connaissances, de nouveaux savoirs, méditer, cultiver sa créativité, et de bien savoir gérer ses émotions, ne pas se laisser trop influencer par celles des autres.
Idéalement, une prêtresse, toujours à mon sens, sera dotée de compassion et d'ouverture.
En dépit de toutes les idées que l'on se fait d'une prêtresse, on doit se rappeler d'abord et avant tout qu'elle demeure un être humain, doté d'émotions, d'un quotidien chargé de tâches triviales, donc souvent déconnecté de ce que l'on qualifie de «sacré». De nos jours, la prêtresse mène souvent une double vie, c'est-à-dire qu'elle a son occupation, son travail; elle a probablement un cercle d'amis ou une famille qui ne partage pas ses croyances nécessairement et à qui elle voue de son temps, surtout si elle est mère de famille.
Ce qu'il y a de bien avec les spiritualités païennes, c'est toute la liberté qu'elles impliquent. Toutes femmes peuvent se déclarer prêtresses de la Déesse. Mais combien le sont-elles vraiment ? Ce n'est pas à quique ce soit de juger la façon dont les autres vouent leur culte et rendent hommage à la Déesse, seulement il est bon de s'interroger, en tant que prêtresse (du moins si on se déclare comme telle), sur ce que l'on peut faire pour toujours donner le meilleur de soi-même. À mon sens, l'engagement dans la prêtrise en est un solennel, qui ne doit pas être pris à la légère. Le corps de la prêtresse est le temple sacré de la Déesse, sa voix et ses gestes. La prêtresse doit être un modèle, puisque souvent c'est une enseignante, une facilitatrice, une personne de sagesse, de conseils. Il ne s'agit pas d'être parfaite ou irréprochable, il s'agit d'agir toujours pour le mieux, au meilleur de sa connaissance, d'agir responsablement et de donner l'exemple, etc.
Par Ishara Labyris
Elle a ses principes et ses valeurs.
Je crois pour ma part que pour être prêtresse de Déesse, il faut, plus que se connaître soi-même, s'aimer soi-même, prendre soin de son corps, de son esprit et de son âme. Par là, je veux dire qu'il y a, d'une part, le fait de se nourrir sainement, de vivre une vie active, de trouver des activités, des passions à partager, ouvrir son esprit à de nouvelles connaissances, de nouveaux savoirs, méditer, cultiver sa créativité, et de bien savoir gérer ses émotions, ne pas se laisser trop influencer par celles des autres.
Idéalement, une prêtresse, toujours à mon sens, sera dotée de compassion et d'ouverture.
En dépit de toutes les idées que l'on se fait d'une prêtresse, on doit se rappeler d'abord et avant tout qu'elle demeure un être humain, doté d'émotions, d'un quotidien chargé de tâches triviales, donc souvent déconnecté de ce que l'on qualifie de «sacré». De nos jours, la prêtresse mène souvent une double vie, c'est-à-dire qu'elle a son occupation, son travail; elle a probablement un cercle d'amis ou une famille qui ne partage pas ses croyances nécessairement et à qui elle voue de son temps, surtout si elle est mère de famille.
Ce qu'il y a de bien avec les spiritualités païennes, c'est toute la liberté qu'elles impliquent. Toutes femmes peuvent se déclarer prêtresses de la Déesse. Mais combien le sont-elles vraiment ? Ce n'est pas à quique ce soit de juger la façon dont les autres vouent leur culte et rendent hommage à la Déesse, seulement il est bon de s'interroger, en tant que prêtresse (du moins si on se déclare comme telle), sur ce que l'on peut faire pour toujours donner le meilleur de soi-même. À mon sens, l'engagement dans la prêtrise en est un solennel, qui ne doit pas être pris à la légère. Le corps de la prêtresse est le temple sacré de la Déesse, sa voix et ses gestes. La prêtresse doit être un modèle, puisque souvent c'est une enseignante, une facilitatrice, une personne de sagesse, de conseils. Il ne s'agit pas d'être parfaite ou irréprochable, il s'agit d'agir toujours pour le mieux, au meilleur de sa connaissance, d'agir responsablement et de donner l'exemple, etc.
Par Ishara Labyris